LesSoldats sont l'incarnation des plus hautes aspirations de l'armĂ©e de la RĂ©publique, la force de combat la plus avancĂ©e de la galaxie. Ils sont Ă©quipĂ©s pour affronter tout type d'ennemi dans tout type d'environnement, mais leur valeur ne tient pas Ă  leur Ă©quipement, mais Ă  leur bravoure. Les plus grandes armes des Soldats sont leur tĂ©nacitĂ© Ă  toute Ă©preuve, leur infaillible sens Lespeintres ou les sculpteurs pouvaient reproduire de maniĂšre trĂšs prĂ©cise l’équipement du soldat, un armement qu’ils avaient sans aucun doute le loisir d’examiner au quotidien, mais il est peu probable que ces mĂȘmes artistes se soient rendus personnellement sur un champ de bataille afin de pouvoir Ă©tudier le comportement des soldats dans le feu de l’action (57). Par ailleurs, l LUkraine a dĂ©noncĂ© jeudi le bombardement russe meurtrier qui a frappĂ© la veille une gare du centre du pays, et fait selon elle au moins 25 morts civils, alors que Moscou Description Comme soldat d'Ă©quipage de chars, tu es responsable pour la disponibilitĂ© et l’engagement des diffĂ©rentes armes de bord.. Ton instruction a lieu sur des simulateurs et dans des exercices de combat et de feu. Le soldat d’équipage de char est formĂ© sur le char de combat (LEOPARD) ou sur un des chars de grenadiers (dĂ©signation CH char gren Ilest mot il y a quelques jours dans des combats au nord de Kyiv. Ses funĂ©railles Ă©taient cĂ©lĂ©brĂ©es ce dimanche dans la capitale ukrainienne, en prĂ©sence de sa famille et ses frĂšres d'armes. Ilsallaient y laisser Leurs plus belles annĂ©es C'est court la jeunesse Mais ils n'y pensaient pas Ils Ă©taient lĂ  Il fallait y ĂȘtre Alors ils ont tenu Autant qu'ils ont pu Jusqu'au bout de leurs derniĂšres forces C'Ă©tait pas la guerre Pas vraiment la guerre Mais c'Ă©tait la mort. Soldats sans armes Soldats sans visages Ils mourraient dans l'ombre Sans dire leur nom Ils se battaient sans zkqXfe. Mais ouais mais ouais on fait la nique Ă  la drogue, on dĂ©ploie des trĂ©sors d’énergie dans toutes les grandes puissances pour bannir l’usage des psychotropes qui foutent en l’air le cerveau et affaiblissent la productivitĂ© des forces vives. Mais ouais mais ouais. M’enfin quand il s’agit d’aller faire la guerre, pour avoir des soldats bien motivĂ©s, rien ne vaut une bonne grosse dose d’amphĂ©tamines administrĂ©e Ă  marche forcĂ©e. 1. Les mĂ©tamphĂ©tamines C’est un laboratoire allemand forcĂ©ment qui a mis au point la pervitine ça ne s’invente pas, la toute premiĂšre mĂ©tamphĂ©tamine commercialisĂ©e. Un peu de pervitine et adieu la fatigue, la peur d’échouer et les limites physiques. Rapidement, le produit se rĂ©pand dans le pays et gagne les rangs de la Werhmacht. Les soldats chargĂ©s d’aller transformer la Pologne en extension du territoire allemand en sont gavĂ©s et hop quatre jours plus tard, pauvre Pologne. Hitler, qui aimait donner l’exemple, se goinfrait lui-mĂȘme de drogues diverses, avec des dose tutoyant les 150 pilules par jour ne faites pas ça chez vous les enfants ; ne maniĂšre gĂ©nĂ©rale, ne faites RIEN comme Hitler. Jusqu’en 42, les Allemands ont donc tournĂ© Ă  la dĂ©fonce, jusqu’à ce qu’on rĂ©alise que ça pouvait avoir des consĂ©quences Ă  long terme puisque les mecs ne dormaient plus. Il a alors Ă©tĂ© dĂ©cidĂ© d’ajouter des narcotiques de temps en temps Ă  l’ordonnance pour rééquilibrer les choses. Mais les mĂ©tamphĂ©tamines ne sont pas l’apanage des seuls nazis. Les AmĂ©ricains aussi ont eu recours Ă  ce type de petits remontants Ă  plusieurs occasions. Pendant l’opĂ©ration d’invasion du Panama, en 1989 Manuel Noriega avait eu tort de dĂ©clarer la guerre aux Etats-Unis, les pilotes Ă©taient totalement shootĂ©s Ă  la dextroamphĂ©tamine afin d’éviter qu’ils ne s’endorment. Les lĂ©gionnaires français ont aussi eu droit Ă  leur complĂ©ment alimentaire sous la forme de modafinil pendant la premiĂšre guerre du Golfe. De mĂȘme que les pilotes amĂ©ricains lors de la guerre en Afghanistan post-11 septembre. 2. La fĂ©nĂ©tylline est utilisĂ©e par Daech pour stimuler ses combattants Il y a une longue, grande et terrible tradition de drogue dans les groupes terroristes. En Bosnie, au Congo ou en TchĂ©tchĂ©nie, les combattants recevaient leur drogue directement des mains du commandement. Al QaĂŻda fermait les yeux sur la consommation des substances haram. Mais c’est vraiment Daech qui a Ă©levĂ© le niveau avec la fĂ©nĂ©tylline, Ă©galement appelĂ©e Captagon. Cette drogue, qui Ă©tait courue par les artistes dans les annĂ©es 1970, s’est durablement implantĂ©e au Moyen-Orient puisque son principal producteur est encore la Libye Ă  ce jour. Plus de peur, plus de peine, plus d’empathie idĂ©al quand il s’agit d’aller tuer plein de gens gratuitement. 3. La benzĂ©drine, l'arme secrĂšte des AlliĂ©s pendant la Seconde guerre mondiale La drogue a Ă©tĂ© pour la premiĂšre fois commercialisĂ©e sur le territoire amĂ©ricain au dĂ©but des annĂ©es 30 comme mĂ©dicament comme contre les troubles respiratoires. D’abord on l’inhale, puis ensuite on prend des comprimĂ©s et tout Ă  trac on se rend compte que pour les problĂšmes pulmonaires on sait pas mais putain on est de super bonne humeur. Rapidement, les milieux artistiques s’en emparent et Churchill traĂźne proche des milieux artistiques. Du coup, il commence Ă  en prendre et se rend compte de l’intĂ©rĂȘt que ça prĂ©sente pour conserver son Ă©nergie. Et voilĂ  comment tous les aviateurs de la Royal Air Force se retrouvent avec un petit cocktail mĂ©dicamenteux Ă  s’envoyer avant d’aller combattre. Donc au front, on se retrouvait avec benzĂ©drine contre pervitine. On croirait un combat de PokĂ©mon. 4. La scolopamine, pratique pour fabriquer de vaillants petits soldats dans les cartels Un cartel, c’est une sociĂ©tĂ© hiĂ©rarchisĂ©e il y a un grand chef qui vend des trucs illĂ©gaux et a besoin de plein de petites mains qui accepteront de s’exposer Ă  des risques Ă©normes afin que le grand chef s’enrichisse immensĂ©ment sur leur dos. Dit comme ça, ça donne pas trĂšs envie ? Eh bien les chefs des cartels l’ont bien compris pour s’assurer que leurs hommes ne renonceront pas au dernier moment avant d’aller faire leurs basses oeuvres, ils ont commencĂ© Ă  leur donner de la scolopamine, une drogue qui Ă©limine tout libre-arbitre, filles des hallus et Ă©tait utilisĂ©e au dĂ©part dans le traitement de la maladie de Parkinson. En Colombie, les cartels l’appellent Burundanga, le souffle du diable ». Ambiance. 5. La cocaĂŻne, le coupe-faim de la PremiĂšre Guerre mondiale Ce qui est bien, avec la cocaĂŻne, c’est qu’une fois qu’on en prend on n’a pas trop besoin d’aller se faire un gros kebab. Les gouvernements l’avaient bien compris et, lors de la PremiĂšre Guerre mondiale, ils ont commencĂ© Ă  utiliser massivement cette drogue synthĂ©tisĂ©e en Allemagne et qui permettaient de diminuer de 20% les besoins en vivres des troupes. Ce qui n’est pas rien dans le cadre d’une guerre de tranchĂ©es longue, Ă©reintante et qui a totalement dĂ©truit les Ă©conomies europĂ©ennes. Les soldats ne savaient mĂȘme pas qu’ils consommaient de la cocaĂŻne car celle-ci Ă©tait mĂ©langĂ©e Ă  la bouffe qui de toute façon ne devait pas avoir bon goĂ»t, ce qui a participĂ© aussi Ă  la difficultĂ© du retour Ă  la vie normale. 6. L'alcool, le meilleur ami des miloufs Et ce depuis le dĂ©but du monde. Les Grecs s’envoyaient des litrons de pinard avant d’aller au combat, de mĂȘme que les AztĂšques buvaient du pulque, un alcool extrĂȘmement fort qui les dĂ©fonçaient totalement. MĂȘme NapolĂ©on utilisait l’alcool fort pour motiver ses troupes Ă  Austerlitz, c’était triple ration de brandy plutĂŽt que de frites. On pensait sincĂšrement que la picole renforçait l’organisme Ă  l’époque et aidait Ă  lutter contre le froid. Une demi-pinte de rhum par jour, c’était le tarif pour les marins anglais du XVII°. Les marĂ©chaux de la PremiĂšre guerre Ă©taient prĂȘts Ă  renoncer Ă  l’approvisionnement en vivres, mais pas en vin
 Bref, l’humanitĂ© s’est construite sur des affrontements entre mecs complĂštement pĂ©tĂ©s. 7. Les amanites des Vikings Quiconque a dĂ©jĂ  pris des champis Ă  Amsterdam sait qu’on ne voit pas tout Ă  fait la vie de la mĂȘme maniĂšre quand on est totalement dĂ©glingue. Les chercheurs estiment aujourd’hui que plusieurs lĂ©gendes vikings sont directement liĂ©es Ă  la consommation d’amanites, et notamment toute la mythologie voulant que certains guerriers, les berserkers, pouvaient s’emparer des esprits d’animaux. Avec l’impression d’ĂȘtre des gĂ©ants face Ă  des nains, les Vikings pouvaient tranquillement aller au combat sans peur et semer la terreur. Plus tard, les Zoulous ont utilisĂ© des champignons Ă  leur tour, ce qui leur a permis de remporter des victoires assez incroyables contre les Britanniques. 8. L'opium, le mĂ©dicament magique de la guerre de SĂ©cession L’opium, dĂ©rivĂ© du pavot, avait gagnĂ© les contrĂ©es occidentales Ă  compter de la fin du XVIII° siĂšcle en raison notamment des trafics opĂ©rĂ©s par les colons anglais basĂ©s en Inde qui tiraient d’importants bĂ©nĂ©fices des exportations illĂ©gales d’opium en Chine alors mĂȘme que la Chine cherchait Ă  interdire sa consommation. Pendant la guerre de SĂ©cession, les deux camps avaient recours Ă  l’opium pour permettre aux soldats de se dĂ©tendre et l’absence de mĂ©decine vraiment moderne incitait les mĂ©decins militaires Ă  donner de l’opium aux soldats pour soigner tous leurs maux les migraines, les coups de mou, les douleurs
 Au final, soldats sont sortis de la guerre avec une grave dĂ©pendance Ă  l’opium. 9. Le Vietnam et la drogue Ă  tout va Des Ă©tudes des annĂ©es 70 montrent que les soldats amĂ©ricains envoyĂ©s au Vietnam, perdus dans une guerre ingagnable politiquement, exposĂ©s aux maladies tropicales et totalement dĂ©sorientĂ©s, consommaient TOUS des drogues. 92% d’entre eux affirmaient boire en continu, 70% consommer de la weed rĂ©guliĂšrement, 40% prenaient de l’opium, 34% de l’hĂ©roĂŻne et tutti quanti. Au total 43% des soldats consommaient des stupĂ©fiants pendant la guerre. A noter que l’intervention soviĂ©tique en Afghanistan a engendrĂ© des problĂšmes similaires la consommation d’opium des troupes soviĂ©tiques est mĂȘme parfois pointĂ©e du doigt pour expliquer l’échec cuisant de l’armĂ©e rouge. 10. La fausse lĂ©gende des Haschishin On a longtemps racontĂ© que les guerriers musulmans du XI° siĂšcle fumaient du haschish avant d’aller au combat. Une lĂ©gende telle que le mot haschishin a dĂ©viĂ© pour devenir assassin » de nos jours. Pourtant, seuls les tĂ©moignages des belligĂ©rants opposĂ©s relatent pareilles pratiques, et il y a fort Ă  parier qu’il s’agissait lĂ  d’une vĂ©ritable opĂ©ration de propagande visant Ă  dĂ©nigrer les combattants islamiques.

on est des soldats sans armes au combat