DIEU N'EST PAS UN HOMME POUR MENTIR. IL N'EST PAS UN HOMME POUR ÊTRE LIMITÉ. IL N'EST PAS UN HOMME POUR DÉCEVOIR. IL PENSE CE QU'IL DIT ET IL PROMET CE QU'IL PEUT FAIRE. SES PROMESSES SONT CERTAINES
Textepour le Vendredi 27 juin La colère de l homme n accomplit pas la justice de Dieu (Jacq. 1:20). Quand on est en colère, prendre le temps de se calmer pour . DIALOGUE ISLAMO CHRETIEN ARABOPHONE. Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer. DIALOGUE ISLAMO CHRETIEN
VersetNombres 23:19 Dieu n'est point un homme pour mentir, Ni fils d'un homme pour se repentir. Ce qu'il a dit, ne le fera-t-il pas? Ce qu'il a déclaré, ne l'exécutera-t il pas?- Français Bible Louis Segond - fls
Celuiqui est la force d'Israël ne ment point et ne se repent point, car il n'est pas un homme pour se repentir. Psaume 89:34 Je ne violerai point mon alliance Et je ne changerai pas ce qui est sorti de mes lèvres. Psaume 110:4 L'Eternel l'a juré, et il ne s'en repentira point: Tu es sacrificateur pour toujours, A la manière de Melchisédek.
Dieun'est pas un homme, pour mentir. Nombres 23. 19 (Jésus dit : ) Moi, je leur ai donné ta Parole Ta Parole est la vérité. Jean 17. 14, 18. Gros plan et déformation. Lorsqu'un photographe veut faire un gros plan, il cadre sa photo sur le sujet qui l'intéresse, et choisit avec soin l'angle de vue, pour obtenir l'effet recherché. De ce fait, les proportions relatives des
Réponse(1 sur 4) : q : Les hommes prient partout pour des Dieux qui n'existent pas, parce que le seul vrai dieu est peut-être une Déesse que personne ne connaît - en est-elle triste ? Parce que, selon vous Dieu serait un humain sexué ? Quand j'étais petit, on
sZhtaMk. La Bible Louis Segond Nombres 2319 Louis Segond 1910 - Dieu n’est point un homme pour mentir, Ni fils d’un homme pour se repentir. Ce qu’il a dit, ne le fera-t-il pas ? Ce qu’il a déclaré, ne l’exécutera-t il pas ? Nombres 2319 Nouvelle Édition de Genève - Dieu n’est point un homme pour mentir, Ni fils d’un homme pour se repentir. Ce qu’il a dit, ne le fera-t-il pas ? Ce qu’il a déclaré, ne l’exécutera-t-il pas ? Nombres 2319 Segond 21 - Dieu n’est pas un homme pour mentir, ni le fils d’un homme pour revenir sur sa décision. Ce qu’il a dit, ne le fera-t-il pas ? Ce qu’il a déclaré, ne l’accomplira-t-il pas ? Les autres versions Nombres 2319 Bible Semeur - Dieu n’est pas homme pour mentir, ni humain pour se repentir. A-t-il jamais parlé sans qu’il tienne parole ? Et n’accomplit-il pas ce qu’il a déclaré ? Nombres 2319 Bible français courant - Dieu n’est pas un homme pour mentir,il n’est pas un être humain pour changer d’ n’affirme jamais rien sans tenir parole,ce qu’il promet, il le réalise. Nombres 2319 Bible annotée - Dieu n’est pas homme pour mentir Et fils d’homme pour se repentir. Est-ce lui qui dit et ne fait pas, Qui parle et n’exécute pas ? Nombres Bible Darby - Dieu n’est pas un homme, pour mentir, ni un fils d’homme, pour se repentir aura-t-il dit, et ne fera-t-il pas ? aura-t-il parlé, et ne l’accomplira-t-il pas ? Nombres 2319 Bible Martin - Le [Dieu] Fort n’est point homme pour mentir, ni fils d’homme pour se repentir ; il a dit, et ne le fera-t-il point ? il a parlé, et ne le ratifiera-t-il point ? Nombres Bible Ostervald - Dieu n’est point homme pour mentir, ni fils d’homme pour se repentir. Il a dit ; ne le fera-t-il point ? Il a parlé ; ne le réalisera-t-il pas ? Nombres 2319 Bible de Tours - Dieu n’est pas, comme l’homme, capable de mentir, ni, comme le fils de l’homme, sujet au changement. Quand il a dit une chose, ne la fera-t-il pas ? Quand il a parlé, n’accomplira-t-il pas sa parole ? Nombres 23 v 19 Bible Crampon - Dieu n’est point un homme pour mentir, ni un fils d’homme pour se repentir. Est-ce lui qui dit et ne fais pas, qui parle et n’exécute pas ? Nombres 2319 Bible Sacy - Dieu n’est point comme l’homme, pour être capable de mentir ; ni comme le fils de l’homme, pour être sujet au changement. Quand donc il a dit une chose, ne la fera-t-il pas ? quand il a parlé, n’accomplira-t-il pas sa parole ? Nombres 2319 Bible Vigouroux - Dieu n’est point comme l’homme pour être capable de mentir, ni comme le fils de l’homme pour être sujet au changement. Quand il a dit une chose, ne la fera-t-il pas ? Quand il a parlé, n’accomplira-t-il pas sa parole ? Nombres 2319 Bible de Lausanne - Dieu n’est pas homme, pour mentir, ni fils d’homme, pour se repentir. Ce qu’il a dit, lui, ne le fera-t-il pas ? Ce qu’il a prononcé, ne le réalisera-t-il pas.{Héb. établira.} Les versions étrangères Nombres 2319 Bible anglaise ESV - God is not man, that he should lie, or a son of man, that he should change his mind. Has he said, and will he not do it? Or has he spoken, and will he not fulfill it? Nombres 2319 Bible anglaise NIV - God is not human, that he should lie, not a human being, that he should change his mind. Does he speak and then not act? Does he promise and not fulfill? Nombres 2319 Bible anglaise KJV - God is not a man, that he should lie; neither the son of man, that he should repent hath he said, and shall he not do it? or hath he spoken, and shall he not make it good? Nombres 2319 Bible espagnole - Dios no es hombre, para que mienta, Ni hijo de hombre para que se arrepienta. Él dijo, ¿y no hará? Habló, ¿y no lo ejecutará? Nombres 2319 Bible latine - non est Deus quasi homo ut mentiatur nec ut filius hominis ut mutetur dixit ergo et non faciet locutus est et non implebit Nombres 2319 Ancien testament en grec - οὐχ ὡ ἄνθρπο ὁ θεὸ διαρηθῆναι οὐδὲ ὡ υἱὸ ἀνθρώπου ἀπειληθῆναι αὐὸ εἴπα οὐχὶ ποιήει λαλήει καὶ οὐχὶ ἐμμενεῖ. Nombres 2319 Bible allemande - Gott ist nicht ein Mensch, daß er lüge, noch ein Menschenkind, daß ihn etwas gereue. Sollte er etwas sagen und nicht tun? Sollte er etwas reden und es nicht halten? Nombres 2319 Ce verset n’existe pas dans cette traducton !
SUPPOSONS qu’une fille dise à sa maman “ Je rentre à la maison tout de suite après l’école. ” Mais en réalité, elle s’amuse avec ses copines et, ensuite, elle raconte à sa maman que la maîtresse lui a demandé de rester après la classe. Est-ce que ce serait bien ? — Quelle bêtise ce garçon a-t-il faite ? Ou alors un garçon promet à son papa de ne pas jouer au ballon dans la maison, mais il y joue quand même. Est-ce que ce serait mal s’il disait qu’il ne l’a pas fait ? — Le grand Enseignant nous a donné une règle Que votre mot Oui signifie simplement Oui, votre Non, Non ; car tout le reste vient du méchant. ’ Matthieu 537. Qu’est-ce que ça signifie ? — Ça signifie que, lorsqu’on dit quelque chose, il faut le faire. Il y a une histoire dans la Bible qui montre bien qu’il faut dire la vérité. C’est l’histoire d’un homme et d’une femme qui prétendaient être disciples de Jésus. Écoute ce qui leur est arrivé. Ça se passe à Jérusalem, à peine deux mois après la mort de Jésus. De nombreuses personnes sont venues de très loin pour assister à une grande fête des Juifs, la Pentecôte. Ce jour-là, l’apôtre Pierre prononce un magnifique discours à propos de Jésus, que Jéhovah a ressuscité. Beaucoup de ceux qui l’écoutent n’ont jamais entendu parler de Jésus auparavant. Après le discours, ils veulent en savoir plus. Alors que font-ils ? Ils restent à Jérusalem plus longtemps que prévu. Le problème, c’est qu’au bout de quelque temps certains n’ont plus d’argent ; comment vont-ils s’acheter à manger ? Les disciples qui habitent la ville vont les aider. Beaucoup vendent une partie de leurs biens et ils apportent l’argent aux apôtres pour qu’ils le distribuent à ceux qui en ont besoin. Ananias et sa femme, Sapphira, font partie de la congrégation chrétienne de Jérusalem. Ils décident de vendre un champ qui leur appartient. Personne ne les oblige à le faire. Ils l’ont décidé tout seuls. Mais s’ils font ça, ce n’est pas parce qu’ils aiment les nouveaux disciples de Jésus ; c’est pour que les gens autour d’eux les croient meilleurs qu’ils ne sont en réalité. D’ailleurs, ils se mettent d’accord pour garder une partie de l’argent et dire qu’ils ont tout donné. Que penses-tu de cette façon d’agir ? — Ananias va voir les apôtres et leur donne l’argent. Bien sûr, Dieu sait qu’il ne donne pas tout. Il révèle à l’apôtre Pierre qu’Ananias n’a pas dit la vérité. Quel mensonge Ananias raconte-t-il à Pierre ? Ananias, lui dit alors Pierre, pourquoi as-tu laissé Satan te pousser à faire ça ? Le champ était à toi. Tu n’étais pas obligé de le vendre. Et même après l’avoir vendu, c’était à toi de décider de ce que tu ferais de l’argent. Pourquoi prétends-tu que tu donnes tout l’argent, alors que tu en as gardé une partie ? Ce n’est pas seulement à nous que tu mens, mais aussi à Dieu. ’ C’est très grave. Ananias ment. Il ne fait pas ce qu’il dit. Il fait semblant de faire ce qu’il dit. La Bible raconte ce qui se passe ensuite En entendant les paroles de Pierre, Ananias tombe par terre et meurt. ’ Dieu lui a ôté la vie. On emporte le corps d’Ananias pour l’enterrer. Qu’est-il arrivé à Ananias parce qu’il a menti ? Environ trois heures plus tard, voilà Sapphira. Elle ignore ce qui est arrivé à son mari. Pierre lui demande Tous les deux, vous avez bien vendu votre champ pour cette somme que vous nous avez donnée ? ’ Sapphira répond Oui, c’est pour cette somme. ’ Mais elle ment elle aussi. Elle et son mari ont gardé une partie de l’argent. Alors, Dieu la fait mourir à son tour. — Actes 51-11. Que nous apprend l’histoire d’Ananias et de Sapphira ? — Que Dieu n’aime pas les menteurs. Il veut que nous disions toujours la vérité. Pourtant, beaucoup de gens trouvent qu’il n’y a rien de mal à mentir. Penses-tu qu’ils ont raison ? — Sais-tu que c’est à cause d’un mensonge que la maladie, les douleurs et la mort existent ? — D’après Jésus, qui a dit le premier mensonge, et quelles en ont été les conséquences ? Tu te souviens que le Diable a menti à Ève, la première femme. Il lui a dit qu’elle ne mourrait pas si elle désobéissait à Dieu et prenait du fruit qu’il avait interdit de manger. Ève a cru que le Diable disait la vérité, et elle a pris du fruit. Elle en a même donné à Adam. Résultat tous les deux sont devenus des pécheurs. Et comme leurs enfants sont nés pécheurs aussi, ils étaient condamnés à souffrir et à mourir. Tous ces malheurs, à cause de quoi ? — À cause d’un mensonge. Voilà pourquoi Jésus a dit que le Diable est “ un menteur et le père du mensonge ”. Il est le premier à avoir dit un mensonge. Quand quelqu’un ment, il copie le Diable. Penses-y quand tu as envie de dire un mensonge. — Jean 844. Quand est-ce que tu peux être tenté de mentir ? — Quand tu as fait une bêtise, n’est-ce pas ? — Il peut t’arriver par exemple de casser quelque chose sans le faire exprès. Si on te demande qui a fait ça, devrais-tu accuser ton frère ou ta sœur ? Ou bien dire que tu ne sais pas ce qui s’est passé ? — Quand peux-tu être tenté de mentir ? Prenons un autre exemple tu avais des devoirs à faire, mais tu n’en as fait qu’une partie. Devrais-tu dire que tu les as tous finis ? — Souviens-toi d’Ananias et de Sapphira. Ils n’ont pas dit toute la vérité. Et Dieu a montré que c’était grave en les faisant mourir. Ainsi, quoi qu’on ait fait, si on ment, ou même si on ne dit qu’une partie de la vérité, on aggrave la situation. La Bible ordonne “ Dites la vérité. ” Et aussi “ Ne vous mentez pas les uns aux autres. ” Jéhovah dit toujours la vérité, et il veut que nous agissions comme lui. — Éphésiens 425 ; Colossiens 39. Il faut toujours dire la vérité. C’est ce que montrent Exode 2016 ; Proverbes 616-19 ; 1219 ; 145 ; 166 ; et Hébreux 413.
Cette question n’est pas nouvelle. Voltaire, qui croyait en Dieu, a écrit Si Dieu n'existait pas, il faudrait l'inventer». Freud, qui était athée, a proposé une hypothèse psychanalytique pour expliquer la croyance en Dieu par le refoulement de l’image du père. De nombreux critiques ont rejeté l’hypothèse de Freud comme farfelue, dépourvue de preuves et née d’une rancune contre la religion. Mais au cours des vingt dernières années la thèse de Dieu-invention-du-cerveau a été ressuscitée dans le contexte de l’engouement actuel pour la neurothéologie1. Dieu, création du lobe temporal ? Il est connu depuis longtemps que l'épilepsie du lobe temporal du cerveau peut évoquer des expériences mystiques et religieuses ainsi que des émotions, souvenirs et sensations de toutes sortes. Le fait que des crises épileptiques puissent produire des expériences illusoires, y compris des expériences mystiques et religieuses, n'est pas en soi surprenant, mais plusieurs auteurs ont proposé que toutesexpériences mystiques et religieuses et paranormales seraient dues à l'activation anormaledu lobe temporal, même en absence d'épilepsie détectable. Expérience et contre-expérience De telles affirmations reposent en grande partie sur la recherche de Michel Persinger et ses collègues, qui ont publié de nombreux rapports affirmant que la stimulation magnétique du lobe temporal provoque, chez les sujets, l’expérience d’une présence à côté d'eux, qui ressemblerait à Dieu ou à quelqu'un qu’ils ont connu de leur vivant. Cette recherche a reçu une très large couverture médiatique, mais elle est controversée parce que des expériences d’une présence sentie» ont souvent lieu même sans stimulation magnétique. Par exemple, dans une étude2 de Persinger, les sujets ont été assis pendant 20 minutes dans une pièce très calme, portant des lunettes opaques. Dans ces conditions de privation sensorielle, une présence sentie» a été annoncée par 33% de ceux qui n’ont reçu aucune stimulation. La stimulation du lobe temporal a, selon le rapport publié, doublé cette fréquence. Cependant, la seule tentative effectuée par un groupe indépendant3 pour reproduire ce résultat n'a relevé aucun effet. Pourtant ils avaient utilisé un casque fourni par Persinger et pris toutes les précautions raisonnables y compris une visite à son laboratoire pour être sûrs de reproduire les mêmes conditions d’expérience. La controverse n'a pas encore été résolue. Expliquer n’est pas nier Après avoir décrit les résultats de Persinger, Matthew Alper4 discute des perceptions, sensations et cognitions» qui peuvent résulter de la méditation et de la prière que nous avons tendance à interpréter comme la preuve d'une réalité divine, sacrée ou transcendantale». Il écrit Néanmoins, des découvertes récentes dans les neurosciences contredisent de telles notions en suggérant que les expériences transcendantales/sacrées/spirituelles/religieuses ne sont pas des manifestations de contact avec Dieu, mais plutôt la façon dont notre cerveau interprète certains processus neurochimiques». Cela me semble très confus. On croit que nos expériences, de quelque nature qu’elles soient, dépendent de la façon dont notre cerveau interprète certains processus neurochimiques», mais cela n’invalide pas nos expériences. Quand en présence d’une personne, mon cœur bat plus vite, ma température s’élève etc., le fait que mon cerveau l’interprète comme de l’amour, n’annule pas l’expérience que je viens de faire. Je ne vois pas pourquoi notre expérience religieuse devrait être une exception. Des preuves de Dieu Cependant, tenter de prouver l'existence de Dieu uniquementà partir d'une expérience religieuse particulière serait une démarche pour le moins inhabituelle. Pour moi et je pense pour la plupart des chrétiens, croire en Dieu ne repose pas sur une seule expérience, mais sur toute une gamme de raisons et de preuves. Parmi les preuves les plus importantes pour moi sont la fiabilité des documents du Nouveau Testament et la nécessité d’accepter la résurrection de Jésus pour expliquer la naissance de l’Église. Je constate aussi que mes prières sont régulièrement exaucées quand je prie avec foi. De plus, je suis impressionné par l’ordre dans la nature, notamment au moment du Big Bang. Pour que la vie soit possible, il fallait que les constantes de la nature soient choisies» avec une précision énorme, ce qui semble impossible sans qu’il y ait une vaste intelligence à l’œuvre dans la création de l’univers. =================================================== Comment je suis devenu neurobiologiste Je suis professeur associé à l’Université de Lausanne, où j’enseigne l’anatomie et la neurobiologie. J’y mène un groupe de recherche sur le thème de la mort neuronale. Actuellement nous nous concentrons sur l’excitotoxicité», le principal mécanisme par lequel les neurones meurent dans de nombreux états cliniques dont l’ischémie cérébrale5 et l’asphyxie périnatale. Vocation Lors de mes études en sciences d’ingénieur» à l’Université d’Oxford, j’ai assisté à une conférence organisée par la société évangélique de l’université l’équivalent des Groupes Bibliques Universitaires du monde francophone, où un neurobiologiste, le Pr. Donald MacKay, présentait ses idées originales sur l’indéterminisme logique d’un choix libre. Cela m’a attiré vers la neurobiologie de telle sorte qu’après avoir terminé mon bachelor, je suis allé faire un doctorat chez ce professeur, travaillant à l’interface entre la neurobiologie et la psychologie, malgré mon ignorance des deux sujets. Pendant mes années formatives, j’ai été profondément influencé par Donald MacKay, par les livres de C. S. Lewis, et aussi par un livre moins connu Christian Rationalism and Philosophical Analysisde Cleobury. Chrétien par choix Je me suis engagé pour le Christ quand j’étais bien jeune 11 ans. J’ai entendu quelqu’un parler de connaître Jésus-Christ comme ami et sauveur personnel ». Je ne comprenais que vaguement ce que cela voulait dire, mais je le désirais de tout mon cœur. J’ai commencé à prier chaque soir que cela puisse être vrai pour moi. Neuf mois plus tard, dans un camp chrétien, j’ai compris pour la première fois que croire en Christ veut dire mettre sa confiance en lui. Je suis revenu de ce camp changé, radieux, rempli de l’assurance que, grâce à la mort de Jésus, j’étais en règle avec Dieu. Au cours des 50 ans qui ont suivi, cette assurance ne m’a jamais quitté. Je suis actuellement membre actif d’une église évangélique à Lausanne. Je n’ai jamais trouvé qu’il y ait un conflit entre science et foi. Comme le disait Galilée Les Saintes Écritures nous apprennent comment aller au ciel, pas comment le ciel doit aller». Avec mon arrière-plan de neurobiologiste, j’essaie de creuser des questions en relation avec le cerveau, et je donne parfois des conférences sur des sujets tels que L’homme et son cerveau, plus qu’une machine?» ou Le cerveau et le libre arbitre». ==============================================
Copie entièrement retranscrite pour un bac blanc. Note obtenue 16/20. Dernière mise à jour 01/11/2021 • Proposé par gymnasticman élève Texte étudié Dostoievski avait écrit "Si Dieu n'existait pas, tout serait permis." C'est là le point de départ de l'existentialisme. En effet, tout est permis si Dieu n'existe pas, et par conséquent l'homme est délaissé, parce qu'il ne trouve ni en lui, ni hors de lui une possibilité de s'accrocher. Il ne trouve d'abord pas d'excuses. Si, en effet, l'existence précède l'essence, on ne pourra jamais expliquer par référence à une nature humaine donnée et figée; autrement dit, il n'y a pas de déterminisme, l'homme est libre, l'homme est liberté. Si, d'autre part, Dieu n'existe pas, nous ne trouvons pas en face de nous des valeurs ou des ordres qui légitimeront notre conduite. Ainsi, nous n'avons ni derrière nous, ni devant nous, dans le domaine lumineux des valeurs, des justifications ou des excuses. Nous sommes seuls, sans excuses. C'est ce que j'exprimerai en disant que l'homme est condamné à être libre. Condamné par ce qu'il ne s'est pas crée lui même, et par ailleurs cependant libre, parce qu'une fois jeté dans le monde il est responsable de tout ce qu'il fait. L’existentialisme ne croit pas à la puissance de la passion. Il ne pensera jamais qu'une belle passion est un torrent dévastateur qui conduit fatalement l'homme à certains actes, et qui, par conséquent, est une excuse. Il pense que l'homme est responsable de sa passion. L'existentialisme ne pensera pas non plus que l'homme peut trouver un secours dans un signe donné, sur terre, qui l'orientera; car il pense que l'homme déchiffre lui même le signe comme il lui plaît. Il pense donc que l'homme, sans aucun appui et sans aucun secours, est condamné à chaque instant à inventer l'homme. Sartre, L'existentialisme est un humanisme Jean-Paul Sartre 1905-1980 fut sans aucun doute l'écrivain français le plus populaire au cours du XXe siècle. Son talent était tellement prestigieux qu'il en reçut, comme récompense, le prix Nobel de littérature qu'il refusa. Dans ce passage du livre L'existentialisme est un humanisme, il évoque quelle est la cause, mais aussi les conséquences de la liberté humaine avec comme cause la non-existence de Dieu et comme conséquence le délaissement de l'homme, la responsabilité de ce qu'il fait et de ce qu'il est, mais aussi une immense liberté. On peut alors se poser la question à savoir quelles sont les conditions pour que l'homme soit libre? Nous verrons donc dans un premier que la liberté, c'est d'abord le délaissement puis dans un deuxième temps que l'homme n'est libre que si l'existence précède l'essence puis dans un troisième temps que l'homme est condamné à être libre. I. La liberté, c'est d'abord le délaissement La liberté, c'est d'abord le délaissement. L'homme est délaissé que si Dieu est mort ce qui va permettre à l'homme d'être libre et responsable de ces choix. Le délaissement que peut ressentir tout homme équivaut à la conscience de sa solitude. Or pour que tout homme ait conscience de sa solitude, il faut que Dieu ne soit plus de ce monde. Sans Dieu, l'homme est délaissé. En effet, la croyance en l'existence de Dieu permet d'excuser nos comportements. Par exemple je peux m'excuser à mon patron de ne pas travailler le samedi à cause de ma religion juive. Par contre, avec la non-existence de Dieu, je me retrouve sans norme et sans valeur et donc, comme disait Dostoïevski "Tout serait permis". Je pourrais donc tout faire, comme il me plaît, comme je le veux, sans aucune contrainte étant donné qu'il n'y aura pas derrière moi Dieu pour me donner les règles de la vie. Ce délaissement va donc permettre d'être libre et donc d'être responsable de ses choix. En effet si l'homme est délaissé, il va donc être libre et responsable de ses choix. L'homme est donc libre, il pourra faire tout ce qu'il voudra. L'homme n'aura donc pas de valeur spirituelle qui lui permettait d'avoir un comportement encadré. Par contre, si l'homme est libre, il sera donc responsable de ses actes, de ses choix, il ne trouvera aucune excuse face à ce comportement, contrairement à l'existence de Dieu. On peut donc dire que le délaissement me laisse face à moi-même, totalement responsable de moi. Ainsi je n'aurai aucune excuse contre mes orientations. Par exemple si je ne mange pas de porc à cause de ma religion musulmane, je ne pourrai pas dire, si Dieu n'existait pas, que je n'en mange pas à cause de mes convictions religieuses. Je ne trouverai pas d'excuse et je pourrai dire que si je ne mange pas de porc c'est à cause de moi, de mes choix et non d'un tel. le délaissement est donc un aspect fondamentale de la liberté. L'homme libre ne peut plus se trouver d'excuses puisqu'il n'est le résultat de rien d'autre, mais que de lui-même. II. L'homme n'est libre que si l'existence précède l'essence Dans cette deuxième partie, nous allons expliquer l'expression "l'existence précède l'essence", mais aussi savoir pourquoi ce terme permet à un homme d'être libre. En ce qui concerne que l'existence précède l'essence, l'existentialisme déclare qu'il y a un être qu'il ne peut être définit avant son existence, et que cet être, c'est l'homme. Cela veut dire que l'homme apparaît dans le monde, existe et se définit après. Si l'homme ne peut être défini au commencement de son existence, c'est qu'il n'est d'abord rien, il devient ensuite, et devient tel qu'il choisit de se faire. Puisqu'il n'y a pas de Dieu pour le concevoir, pour lui donner une âme prédéterminée "Si Dieu n'existe pas, nous ne trouvons en face de nous des valeurs ou des ordres qui légitimeront notre conduite" puisqu'à l'aube de son existence l'homme n'est rien, son avenir lui appartient,ce qu'il est, ce qu'il sera lui apparaît. L'homme détermine lui-même son essence, l'homme n'est rien d'autre que ce qu'il se fait, le résultat de son projet d'être. Il n'est pas ce qu'il a voulu être, car vouloir entend une volonté consciente, mais il est le résultat de ces choix, il est donc responsable de ce qu'il est. Tout existe avant d'être, l'existence est la condition préalable à l'essence, ainsi l'existence précède l'essence. A travers cette explication, certains éléments montrent que l'homme est libre. Il y a donc une relation entre être libre et l'existence précède l'essence. Si l'homme détermine lui-même son essence alors au-delà de la responsabilité individuelle, l'homme est responsable devant l'humanité. L'homme en se définissant à travers ces choix, choisit de donner un certain modèle, une certaine image de l'homme ex aimer son prochain. Il engage ainsi par ses choix, l'ensemble de l'humanité. L'acte individuelle engage toute l'humanité puisqu'en me choisissant, je choisis l'homme. L'homme étant existant d'abord, et ensuite "étant un être construit par ses choix, pas de moral, pas d'excuse, l'homme est donc seul", il choisit ses valeurs seul, il est donc libre. C'est-à-dire que si l'homme seul choisit l'essence de l'homme, il faudra donc qu'il la détermine selon ses convictions sans se préoccuper des valeurs venues de l'extérieur. Il faudra qu'il choisisse lui-même sans contrainte, selon sa volonté, c'est-à-dire librement. Ainsi nous avons donc pu voir que si l'existence précède l'essence alors l'homme sera libre, car c'est lui-même qui choisit librement l'essence. III. L'homme est condamné à être libre Condamné à être libre signifie que l'homme quoi qu'il fasse ne peut échapper à sa liberté par sa responsabilité et par ses choix En ce qui concerne la responsabilité, l'homme dans un monde libre est responsable de tout ce qu'il fait. "Condamné parce qu'une fois jeté dans le monde il est responsable de tout ce qu'il fait". Ainsi si l'homme n'est pas responsable d'être homme, il est tout de même responsable de ne pas l'assumer ou de s'assumer. En faite l'homme est responsable de sa liberté. Être libre ce n'est pas forcément faire ce que je veux, mais ce que je choisis. L'action humaine permet l'affirmation de la liberté. Ainsi lorsque je fais une action qui montre que je suis libre de choisir ex aller à un supermarché plutôt qu'à un autre, je serai donc responsable de cette action et donc responsable de ma liberté. On peut donc dire qu'il y a un lien entre la liberté et la responsabilité, car lorsque je fais une action humaine librement, je suis responsable de cet acte. On peut donc dire que l'homme est condamné à être libre par sa responsabilité. En ce qui concerne le choix, je suis condamné à faire des choix, ce qui prouvera ma liberté. En effet, je fais le choix de faire une action qui affirme ma liberté. D'ailleurs Sartre a dit que "On n'a jamais autant était libre que pendant la guerre, sous l'occupation allemande", c'est-à-dire que nous ne sommes jamais apparus aussi libres que lorsque nous devons choisir seuls et que nous sentons que l'avenir ne sera que ce que nous en faisons individuellement et collectivement. Ainsi lorsque je fais un choix, je choisis consciemment et seul, sans aucune contrainte extérieure, je n'ai donc pas besoin d'une aide extérieure pour ce que je dois choisir donc je choisis seul en liberté. Lorsque je fais un choix, je prends bien évidemment une part de responsabilité, mais aussi un engagement dans le futur, ainsi je suis libre de choisir le futur et donc d'inventer. L'homme est donc condamné à inventer l'homme. Nous avons donc pu voir que l'homme est condamné à être libre par sa responsabilité et ses choix, mais aussi dans le futur. Conclusion Pour que l'homme soit libre, il faut comme nous l'avons vu précédemment que l'homme soit délaissé, que Dieu n'existe pas, mais aussi que l'existence précède l'essence. Sartre soutient dans ce texte que l'homme est libre et donc pleinement responsable de ce qu'il fait et de ce qu'il est. D'après l'auteur, cette infinie liberté est le point de départ de l'existentialisme c'est-à-dire de l'idée selon laquelle "l'existence précède l'essence". On peut néanmoins se questionner sur la vision libérale de Sartre, alors qu'il est communiste. On peut également constater qu'il est ici à l'antithèse de la pensée de Pascal.
Cantique 149 “Il est impossible à Dieu de mentir” Hébreux 618 1. Dieu a béni Abraham, son serviteur. Lui qui dans l’épreuve sortit en vainqueur. Pas un instant il n’a songé à faillir, Sachant qu’en aucun cas Dieu ne peut mentir. 2. Dieu tient ses promesses avec fidélité. Et par un serment sa parole a liée. Aussi avec foi servons-le sans faiblir, Sachant qu’en aucun cas Dieu ne peut mentir. 3. Pour nous soutenir, notre foi affermir, De Dieu le serment resta en souvenir. Nous supporterons le mal sans défaillir, Sachant qu’en aucun cas Dieu ne peut mentir. 4. Ô Jéhovah, toi qui es fidélité, Tu ne trahis pas des tiens la loyauté. Parole et serment pour toi sont à tenir, Car en aucun cas, Dieu, tu ne peux mentir.
dieu n est pas un homme pour mentir